Les spécialités

Les spécialités

Responsables: Pr Christophe Cellier – Pr Georgia Malamut

Responsables : Dr Laurence Iserin – Dr Magalie Ladouceur

Les enfants nés avec une malformation cardiaque congénitale atteignent l’âge adulte, justifient une surveillance régulière et beaucoup nécessitent une prise en charge médicale et/ou chirurgicale spécialisée.

1. Propose à l’Hôpital européen Georges-Pompidou une prise en charge médicale et chirurgicale spécialisée dans un environnement adulte de Cardiologie , de Chirurgie Cardiaque et d’Anesthésie-réanimation (Pr Xavier Jouven)

2. Assure la transition et la continuité des soins entre le secteur pédiatrique (Pr Damien Bonnet, Necker) et le secteur adulte (Pr Albert Hagège, HEGP)

3. S’intègre au Centre de référence Maladies Rares M3C (Malformations Cardiaques Congénitales Complexes)

Responsables: Pr Christophe Cellier – Pr Georgia Malamut

Les formes sévères et compliquées de maladies coeliaques sont prise en charge grâce au réseau CELAC (Centre Expert national des Lymphomes Associés à la maladie Coeliaque) labélisé centre cancer rare de l’adulte par l’INCa et dont la coordination nationale est assurée à l’HEGP (Pr Christophe Cellier, Pr Georgia Malamut et Dr Shérine Khater).
Une collaboration étroite existe avec l’institut Imagine (Site Necker) pour réaliser des investigations génétiques des patients avec entéropathies sévères permettant dans certains cas l’instauration de thérapies ciblées.

Reponsable : Pr Sebastien Czernichow

Responsable : Pr Franck ZINZINDOHOUE

Responsable : Pr Françoise LE PIMPEC-BARTHES

Responsable : Dr Jean-Benoît Arlet

La drépanocytose
La drépanocytose est la maladie génétique la plus fréquente en France. Elle se traduit dès la petite enfance par des crises douloureuses osseuses brutales et intolérables dues à une déformation des globules rouges qui obstruent les vaisseaux. Ces patients souffrent aussi d’une anémie chronique et peuvent développer parfois d’autres complications d’organe (insuffisance rénale, cardiaque, lésions osseuses…), ce qui nécessite un suivi même chez des patients ne souffrant apparemment de rien.

La transition vers l’âge adulte
Les enfants drépanocytaires atteignent presque tous l’âge adulte en France. Le moment de la transition entre la pédiatrie et la médecine adulte (16 ans-20 ans) est une période difficile car le jeune adulte doit quitter son pédiatre et souvent son hôpital où il avait tous ses repères. C’est une période à risque de perdre de vue des patients, ce qui peut être très préjudiciable pour eux.
Le service de médecine interne de l’HEGP est en lien étroit avec son service de pédiatrie de référence, à l’hôpital Necker (responsable Pr M de Montalembert) mais aussi d’autres service d’Ile-de France (hôpitaux: intercommunal de Créteil, Robert Debré, Trousseau, Boulogne, Orsay…). Cela permet un transfert optimal des dossiers médicaux et d’organiser le transfert (planifier des rendez-vous, réunion permettant la visite du service).
Pour des patients ayant arrêté leur suivi de pédiatrie, nous vous accueillerons toujours avec beaucoup de bienveillance et d’attention. L’important est que vous fassiez la démarche de prendre un rendez-vous de consultation pour rétablir un suivi (01 56 09 33 31).

Notre offre de soins
Le service de médecine interne de l’Hôpital européen Georges-Pompidou s’investi beaucoup depuis 2006 pour améliorer constamment la prise en charge des patients drépanocytaires adultes, particulièrement lors des crises. Il appartient au centre de référence des “syndrome drépanocytaire majeur” et au laboratoire d’excellence (Labex) sur le globule rouge. Médecins et personnel paramédical ont une formation de pointe dans la prise en charge des patients et tentent de constamment améliorer leur prise en charge. Ils participent à des travaux de recherche sur la maladie.

Responsable: Dr Laurence Amar

L’hypertension artérielle
Tout le monde a deux glandes surrénales situées au-dessus des reins. Il arrive qu’à l’intérieur d’une ou des deux glandes surrénales se développent des formations nodulaires ou proliférantes qui provoquent une maladie soit parce qu’elles ont une croissance anormale soit parce qu’elles sécrètent trop d’hormones de type cortisol et aldostérone, adrénaline, ou noradrénaline. Il est également possible d’avoir des lésions qui se développent aux dépens des ganglions sympathiques et parasympathiques appelés paraganglions. Ces tumeurs surrénales et paragangliomes peuvent entraîner de l’hypertension, une chute des taux de potassium, des maux de tête, des palpitations, des bouffées de chaleur, une prise de poids, du diabète, de l’ostéoporose, des troubles de l’humeur et du comportement, des problèmes de peau en fonction du type d’hormone sécrétée.

La transition vers l’âge adulte
Ces tumeurs peuvent toucher des enfants, des adolescents, ainsi que des jeunes adultes. Dans ces cas là il est impératif que les patients aient une prise en charge spécialisée, ce d’autant plus que chez les jeunes ces tumeurs peuvent révéler des maladies génétiques.

Notre offre de soins
A l’Hôpital européen Georges-Pompidou, nous avons une équipe pluridisciplinaire spécialisée dans la prise en charge de ces maladies avec des médecins spécialisés en endocrinologie, en hypertension artérielle, des psychologues, des radiologues, des biologistes, des chirurgiens, des généticiens, des oncologues. Nous avons également la chance de bénéficier des techniques les plus modernes pour les dosages d’hormones (appelées la spectrométrie de masse), les examens de radiologie/médecine nucléaire et les tests génétiques.

Responsables: Pr Christophe Cellier – Pr Georgia Malamut

La transition vers l’âge adulte
L’équipe du service d’Hépatogastroentérologie-Endoscopie digestive de l’Hôpital Européen Georges Pompidou (Pr Christophe Cellier, Pr Georgia Malamut, Dr Camille Savale, Dr Sherine Khater) prend en charge régulièrement dans le service depuis une quinzaine d’année de nouveaux patients adolescents/adultes jeunes avec maladies inflammatoires digestives chroniques (Maladies de Crohn, Rectocolites Hémorragiques, Maladies coeliaques, Enteropathies autoimmunes …) transférés de l’hôpital Necker-Enfants Malades. Le but est d’éviter la rupture du suivi car le risque de poussée évolutive de la maladie est fréquent en cas lorsque la surveillance et le traitement sont interrompus. Depuis 2012 a été structuré un parcours de soin avec les gastroentérologues pédiatres de l’hôpital Necker- Enfants Malades (Equipe du Pr Olivier Goulet) avec des plaquettes d’information dédiées et des staffs de transfert communs pour transmettre le dossier médical, anticiper les consultations, les endoscopies digestives (plateau technique d’endoscopie digestive situé au premier étage) et les traitements en milieu adulte à l’Hôpital Européen Georges Pompidou. Les traitements courants sont réalisés en ambulatoire en hôpital de jour maladies inflammatoires au 5ème étage dans le service d’Hépato-gastroentérologie (surveillante générale : Françoise Mevel). Il s’agit principalement des traitements par biothérapies, administrations de fer injectable et aphérèses leucocytaires. Un numéro d’urgence est dédié pour les formes sévères qui nécessitent une hospitalisation rapide.

Responsable : Pr Xavier JEUNEMAITRE

Responsable : Pr Laurent LANTIERI

Responsable : Pr Anne-Sophie BATS

Les tumeurs malignes rares gynécologiques touchent les organes génitaux qui sont l’ovaire, la trompe, l’utérus, et le vagin. Elles doivent être distinguées des formes communes car elles nécessitent des traitements spécifiques. La chirurgie y a une large place. Dans certains cas, il est possible de conserver la fertilité. La chimiothérapie est souvent différente de celle utilisée dans les formes communes.

Les tumeurs rares gynécologiques les plus fréquentes sont celles concernant l’ovaire et regroupent les tumeurs non épithéliales (tumeurs des cordons sexuels et tumeurs germinales), les adénocarcinomes à cellules claires, les adénocarcinomes mucineux, les carcinomes séreux de bas grade, les tumeurs borderline, les carcinosarcomes et les carcinomes à petites cellules.

Certaines de ces tumeurs peuvent toucher des femmes jeunes et leur prise en charge inclut une consultation d’oncofertilité ainsi que des traitements conservateurs de la fertilité dans la mesure du possible.

L’Observatoire des Tumeurs Malignes Rares Gynécologiques, soutenu par l’Institut National du Cancer, tient un registre national de ces cas rares qui doivent y être systématiquement déclarés et organise des réunions de concertation pluridisciplinaires (RCP) spécialisées. Il propose également des référentiels de prise en charge. Le réseau Pathgyn, qui lui est associé, effectue des relectures de lames, qui permettent dans un bon nombre de cas de redresser le diagnostic. Les patientes restent néanmoins prises en charge dans leur centre d’origine.

Notre centre participe activement à la RCP nationale mensuelle ayant lieu à l’Hôtel-Dieu ainsi qu’aux essais cliniques coordonnés par le groupe de recherche ARCAGY-GINECO qui lui est associé.

Site de l’Observatoire des Tumeurs Malignes Rares Gynécologiques

Responsables : Dr Laurence Amar – Dr Khadija Lahlou Laforet

Tumeurs Endocrinologues
Tout le monde a deux glandes surrénales situées au-dessus des reins. Il arrive qu’à l’intérieur d’une ou des deux glandes surrénales se développent des formations nodulaires ou proliférantes qui provoquent une maladie soit parce qu’elles ont une croissance anormale soit parce qu’elles sécrètent trop d’hormones de type cortisol et aldostérone, adrénaline, ou noradrénaline. Il est également possible d’avoir des lésions qui se développent aux dépens des ganglions sympathiques et parasympathiques appelés paraganglions. Ces tumeurs surrénales et paragangliomes peuvent entraîner de l’hypertension, une chute des taux de potassium, des maux de tête, des palpitations, des bouffées de chaleur, une prise de poids, du diabète, de l’ostéoporose, des troubles de l’humeur et du comportement, des problèmes de peau en fonction du type d’hormone sécrétée.

La transition vers l’âge adulte
Ces tumeurs peuvent toucher des enfants, des adolescents, ainsi que des jeunes adultes. Dans ces cas là il est impératif que les patients aient une prise en charge spécialisée, ce d’autant plus que chez les jeunes ces tumeurs peuvent révéler des maladies génétiques.

Notre offre de soins
A l’HEGP, nous avons une équipe pluridisciplinaire spécialisée dans la prise en charge de ces maladies avec des médecins spécialisés en endocrinologie, en hypertension artérielle, des psychologues, des radiologues, des biologistes, des chirurgiens, des généticiens, des oncologues. Nous avons également la chance de bénéficier des techniques les plus modernes pour les dosages d’hormones (appelées la spectrométrie de masse), les examens de radiologie/médecine nucléaire et les tests génétiques.